Parfois, l’émerveillement donne la joyeuse sensation de plonger dans un ailleurs insoupçonné, et d’oublier un instant qu’il s’agit d’un ailleurs. Je l’appelle éblouissement. Cette joie émerveillée respire évidemment un parfum d’enfance, puisqu’à en croire Proust, les vrais paradis sont les paradis qu’on a perdus.
J’ai désiré en témoigner d’abord à propos d’œuvres, de monuments silencieux hérités de civilisations passées.
Splendeur humaine du pharaon, 6 mars
2008
Puissante douceur d’un Bouddha Gupta 27 août
2007
Dépouillé, lumineux, apaisant 26 mai 2008
Il arrive également qu’au delà du spectaculaire, du conventionnel, un film, une émission de radio, me surprennent tellement, par leur fraîcheur, leur délicate simplicité, leur résonance, que je décide de le partager.
Délicatesse bengalie à Brick Lane 8 avril 2008
L’hommage rendu par Sotiguy Kouyate 13 mai 2008
Ratatouille, l'animation champagne ! 9 septembre 2007
Je ne suis pas particulièrement amateur de théâtre en général. Cependant, depuis une quinzaine d’années, il m’offre régulièrement des éblouissements à travers ce que mon engagement dans l’association Le Théâtre de l’Imprévu m’amène à découvrir, à voir et à vivre.
Donné en énergie, reçu en reconnaissance 15 décembre 2007
Des fourneaux aux planches... en vidéo ! 9 juin 2008